repos avant se soir ( pv Lolita)

Admin Messages : 127 Date d'inscription : 21/02/2008

Je la regarda partir vers la maison. Je ne bougas pas, c'est comme-ci cette maison m'était tout d'un coup inconnue. Non je ne pouvait plus y rentrer. Je regarda la jeune femme d'un air de dire: c'est de ma faute si il n'ait plus la. Je me retourna pour courir au sens inverse de la maison. Chaque pas m'était plus douloureux et chaque pas m'éloigné de la demeure familial, déjà ma vue se broiller me forçant a ralentir l'allure

Messages : 116 Date d'inscription : 22/02/2008

J'avais ralentit l'allure. Je vis Maria arriver près de la porte et me tendre une serviette. Je la prit avant de me tourner dans la direction du garçon. Mais quand je me retournais, il n'était plus là.
Bernardo?!
Je ne pouvais plus bouger, mes jambes étaient paralysées. Puis, quand je vis Maria courir vers l'endroit où avait due partir, je la suivis.

Admin Messages : 127 Date d'inscription : 21/02/2008

Je courais toujours dans la forêt, pour une fois ce n'était pas des gardes à ma poursuite. C'était Lolita et Maria. Je ne devait pas m'arrêter. J'étais trop honteux pour les regarder en face. Comment pouvais je les regarder alors que j'avais amenai leur amis, pour un son fiancé a une mort certaines, j'avais détruit un grand homme, que dirais t'il si il me voyait ainsi. Il aurait honte lui aussi

Messages : 116 Date d'inscription : 22/02/2008

Maria et moi, nous courrions toujours après Bernardo qui avait décidé de ne pas s'arréter. Maria s'arrêta bien vite mais je continuais à courir. Trop occuper à courir après Bernardo et avec la pluie me cinglant le visage, je ne voyais pas où je m'étais les pieds. Je ne vis donc pas la racine qui dépassait du sol. Je me pris ainsi les pieds dedans et je tombais rudement sur le sol. J'eu un instant le souffle coupé. Autour de moi, mise à part le bruit de l'eau qui tombe, la forêt était emplie d'un immense silence. Je me redressai avant d'essayé de me relever. Mais je retombais aussitot: ma cheville droite était dans l'incapacité de me soutenir. Je me regardais: j'étais dans un sale état. Mes mains étaient écorchés et ma robe, en plus d'être déchiré, était toute recouverte de boue. Je regardais ma cheville. Celle-ci devait très certainement foulée.

Admin Messages : 127 Date d'inscription : 21/02/2008

J'entendis un bruit, Lolita venait de tomber. Je devais me reprendre. Comment Zorro junior pouvait il fuir comme un lâche, pourtant mes cheville refuser de m'obeir. Une heure plus tard a court de souffle, je m'arrêta. Je regarda autour de moi, j'étais complètement perdue. Je m'assis, je tremblait, j'étais trempé est sale. Je n'était vraiment au meilleur de ma forme.

Messages : 116 Date d'inscription : 22/02/2008

Je me relevais en prenant appui sur un arbre. Je me remis à marcher en claudiquant. Maria me rejoignit et je put prendre appui sur elle. Nous nous remîmes à marcher en direction de Bernardo. Environ une heure après, nous le retrouvâmes. Il n'était pas dans un meilleur état que nous. Maria m'aida à m'approcher.
Bernardo, qu'est ce qu'il t'arrives?

Admin Messages : 127 Date d'inscription : 21/02/2008

Je les entendis arriver, mais j'étais trop fatigués pour courir encore. Elle me demanda se qui m'arriver. Sans savoir pourquoi j'explosa.

C'est de ma faute, j'aurai du savoir.

tout se que je retenais sorti d'un coup. Je mit ma tête entre mes bras

Messages : 116 Date d'inscription : 22/02/2008

Je lâchais Maria et me dirigeais vers Bernardo. Je m'agenouillais pour reposer ma cheville. La regardant, je vis qu'elle avait gonflé. Puis je relevais la tête.
Mais de quoi parles tu Bernardo?
Je me mis à froncer les sourcils. Mais de quoi pouvait il bien parler?

Admin Messages : 127 Date d'inscription : 21/02/2008

C'est ma faute si Diego n'ait plus là, si j'avais était là, il n'aurait pas disparue

Je n'osé toujours pas la regarder. J'avais aperçue sa blessure, ça aussi c'était ma faute. J'étais un incapable. Maria devait être déçue elle aussi, je ne sais pas se qui passa autour de moi. J'avait peur de leur réaction, il allais m'en vouloir a mort, et il avait raison

Messages : 116 Date d'inscription : 22/02/2008

j'eus un léger mouvement de recul. Soit Bernardo avait perdu l'esprit soit il disait vraie et ses nerfs commençaient à lâcher. Je me remit d'aplond mais je continuais à le regarder. Puis je mis mes mains sur ses épaules et je lui souris.
Arrète de culpabiliser. C'est peut êtrer de ta faute si il a disparu mais c'est de la sienne si il n'est pas revenu.
Je lui souris.

Admin Messages : 127 Date d'inscription : 21/02/2008

Je la regarda, je ne pouvais pas en dire plus a moins de lui avouer qu'il était Zorro junior et de lui avoué que ce soir là il n'avait pas accompagné Zorro. Mes larmes redoublèrent d'intensité sans même que je puissent les arrêter. Comment pouvait elle me pardonner. Maria ne disait rien, je me disait qu'elle devait être choqué

Messages : 116 Date d'inscription : 22/02/2008

Je finis par m'agenouiller au coté de Bernardo. Le pauvre garçon, il avait ç a sur la conscience depuis un long moment. Je tournais la tête vers Maria, elle était toujours aussi silencieuse. Que devait elle bien penser? Je reportais mon regard sur Bernardo. Ce dernier c'était remis à pleurer. Je me mis à essuyer ses larmes.
Calmes toi Bernardo.

Admin Messages : 127 Date d'inscription : 21/02/2008

Je sentie sa main essuyer mes larmes, je releva enfin la tête. Je regarda Lolita.

tu m'en veut?

je la regardais avec un certains sérieux, cette air je le prenez parfois lors de moment intense de mes mission. Je l'avait toujours utilisé avec mon masque.

Messages : 116 Date d'inscription : 22/02/2008

Je regardais Bernardo en souriant. Puis je secouais la tête.
Non, bien sur que non.
Je me redressais. Maria vint m'aider. Cette dernière sourit à Bernardo en disant qu'on ne pouvait pas lui en vouloir. Maria décida de rentrer, choix que j'approuvais. La pluie continuait à tomber très fort et le vent était glacial. Ce n'était pas le moment que l'un d'entre nous tombe malade.

Admin Messages : 127 Date d'inscription : 21/02/2008

Je me leva, nous rentrâmes tout les trois dans la grande maison. J'allas directement me changer afin de me coucher. Je m'emdormi rapidement, fatigué par ma course. Le silence se fit dans la maison de la vega. La crise était fini on entendait plus que la pluie battre sur les fenêtre. Je fit encore un cauchemar mais cela ne me réveilla pas.

Messages : 116 Date d'inscription : 22/02/2008

Après entre rentré dans la maison, Je montais me changer, aidé par Maria. Puis, elle me fis allonger, le temps que le médecin arrive. Je pus m'assoupir à peine 5 minutes que le médecin était déjà là. Après une auscultation rapide, il me fis un bandage et me donna des médicaments. Je pus enfin me rendormir, bercé par la pluie. Quand je me réveillais, la pluie avait cessé, remplacé par un beau soleil. Me levant, j'allais vers la fenêtre: Maria était dans le jardin, en train d'étendre le linge et le chien courant dans les flaques d'eau qui luisaient au soleil. Je descendis la rejoindre. Quand je fis arrivé dans le jardin, je rejoignis Maria et l'aida à étendre son linge. Puis je la suivis jusqu'à la table du jardin où elle me servis un thé.

Admin Messages : 127 Date d'inscription : 21/02/2008

J'étais réveiller depuis un bon bout de temps, je reflechisait a un moyen de retrouvé DIego, et c'est ainsi que je me décida. Je me leva doucement et me lava. Ensuite j'alla a la cachette secrette. J'étais bien décidait a le retrouvé.

*Je ne reviendrait pas avant de l'avoir trouvé*

Je m'habilla et scella mon cheval , je sorti discrètement de la cachette. Je devait maintenan passé par la forêt. Je parti au grand galop sans un regard en arrière

je sais pas

Messages : 116 Date d'inscription : 22/02/2008

Je restais à la table du jardin, pendant que Maria retournait dans la cuisine pour prendre de quoi tricoter. Je finis mon thé et penchais la tête en arrière avant de fermer les yeux. Ma cheville recommençait à me faire mal. Je me levais afin d'aller chercher les médicaments prescrit par le médecin dans ma chambre. Arrivé dans ma chambre, je m'allongea un petit instant, le temps de laisser au médicaments, le temps d'agir. Alors que je recommençais à descendre vers le jardin, j'entendis Maria pester. Arrivé à coté d'elle, elle me dis qu'il manqua un fromage. Puis Maria secoua les épaules et décida d'aller réveiller Bernardo. Je retournais dans le jardin. J'allais m'assoir sur un banc quand je vis Maria arrivé en courant en criant que Bernardo était encore partit. Je soupirais: ce garçon ne tenait plus en place.

la forêt